Service Correctionnel Du Canada Revue De La Littà rature Sur Les Techniques De Traitement En Toxicomanie
La présence dans leur classe de l’animatrice de la vie spirituelle tombe à point. Les yeux fermés, les enfants sont invités à se concentrer sur leur souffle qui, explique Marie-Christine Boily, sera utilisé comme une ancre pour ramener les pensées qui auraient tendance à trop dériver. Les animatrices et animateurs de vie spirituelle et d’engagement communautaire font preuve d’une grande ouverture d’esprit, d’un sens critique et jouent essentiellement un rôle d’accompagnateur auprès des élèves. En effet, Christian Miquel a parsemé son livre de conseils, d'exercices et de méditations pour vous inviter à cette quête spirituelle, à la fois laïque et non duelle, Www.Gaiatotal.Ca ouvrant les portes à une dimension plus mystique de la pleine conscience.
Également directeur du Groupe de recherche et d’intervention sur la présence attentive de l’UQAM, il a créé avec son équipe un programme court de deuxième cycle en présence attentive. Offert dès janvier, il s’adresse notamment aux enseignants et fera de l’UQAM la deuxième université canadienne à offrir ce type de formation, après l’Université Simon Fraser, en Colombie-Britannique. Dans ce texte d’introduction de la série Dialogue avec le mystère, l’écrivaine Élisabeth Vonarburg retrace l’éveil de sa conscience spirituelle et nous présente les possibilités quasi infinies de la science-fiction pour interroger l’humain et le non-humain. Ce livre lève le voile de la confusion terminologique qui entoure l’éducation.
De même, le prophétisme évangélique peut dynamiser la spiritualité de la pleine conscience. Ivan Marcil a fait partie de la communauté des carmes pendant plus de 15 ans. Sa maîtrise de théologie à l'Université Laval avait pour thème un dialogue entre la spiritualité et la psychologie à travers la figure de Thérèse de Lisieux.
Une grande illusion consiste à nous faire croire qu’en scolarisant et en instruisant les jeunes, on les éduque. Au mieux, on les prépare à s’adapter à des sociétés dépassées dans leurs bases même, ce dont ils souffrent énormément. Au pire, on les perd dans une spirale infernale d’une déformation indécente, ce qui a des conséquences dramatiques sur leur vie.
Rappelons, par ailleurs, que les musulmanes n’ont pas de « brevet d’invention » sur la pudeur qui est d’abord une attitude avant d’être une apparence. Principe que l’on retrouve autant dans d’autres confessions que dans des valeurs individuelles complètement a-religieuses. De plus, cette modestie est tout autant exigée de l’homme, sensé lui-même avoir une attitude réservée et une tenue décente. C’est que, au-delà de l’apparence vestimentaire, ce que l’islam exige de ses fidèles, hommes et femmes, c’est de savoir relativiser tout paraître au nom de l’être. Surtout, postcoloniales, il est important de se pencher sur cette question dans notre contexte canadien de diversité culturelle. D’autant plus qu’on ne nous offre, gaia total ici comme ailleurs, qu’un débat superficiel entre des « provoile » et des « antivoile », confortant chaque camp dans sa position à mille lieux de cette recherche du « mieux vivre ensemble » vers lequel on aimerait tendre.