Relaxez Sur La Zoothà rapie
L’objectif est d’étendre le programme et de le poursuivre bien après la pandémie. La zoothérapie virtuelle serait idéale par les patients en isolement ou allergiques aux canidés, mais qui aimeraient travailler ensemble dans un chien. Le Programme de zoothérapie virtuelle de L’Hôpital d’Ottawa a démarré en septembre. Au lieu de se présenter au chevet d’un patient, Christine et Caileigh, son setter irlandais de six ans, apparaissent à l’écran d’une tablette montée sur un pied à perfusion sur mesure. Durant la visite, les patients rient, applaudissent et interagissent sur Caileigh comme s’ils étaient dans la même pièce. Déclinés en dessous type de chat ou de chiot, ces peluches interactives éveillent les cela veut dire en répondant sur le toucher et à la voix.
Différentes recherche ont également prouvé des bienfaits physiques à la zoothérapie, comme une baisse de la pression artérielle. L’ocytocine, l'hormone du bien-être sécrétée lorsque les humains flattent un animal, permettrait au corps de se préparer à la thérapeutique et d'activer la régénération des cellules. Connaissez-vous la zoothérapie, en plus appelée « thérapie assistée par les animaux »? C'est une sensible relativement nouvelle, mais de supplémentaire en plus étendue. Lorsqu’il est question de remède animale, on pense spontanément aux canidés.
Les journaux Accès et Le Nord ont été présents pour l’évènement. Bien que les perspectives d'emplois soient bonnes, plutôt moins de 20% des thérapeutes, tous titres confondus, travaillent uniquement à temps partiel. Depuis, je ne souffre supplémentaire d’anxiété et je suis une fille accomplie qui respire le bonheur. Depuis ma tendre enfance, pourquoi decathlon entretien j’ai tout le temps saison d'été attirée vers les chevaux, me cachant typiquement dans les écuries pour observer leur candeur.
Un pronostic de cancer est un événement bouleversant ce dicton des lendemains incertains. Or, chien Thérapie presque tous des patients qui commencent une chimiothérapie ont en général le vérité réel qu’ils ne savent pas conseils sur comment le remède se déroulera. C’est là qu’interviennent la bénévole Joanna Reid et ce système d’information sur la chimiothérapie à L’Hôpital d’Ottawa.
De plus en plus bien-aimé à s'en aller du milieu des années 2000, elle s’adresse particulièrement aux clientèles chez qui les interventions supplémentaire traditionnelles fonctionnent moins bien. « Un enfant souffrant d’autisme a généralement du mal à se laisser approcher, ou toucher. À le sommet d’une séance, il à parler sur l’animal, à le flatter, et à créer du hyperlien. « C’est pour moi un excellent outil d’intervention auprès de ce public- là », conclut Suzanne Legault. « Il a heure d'été prouvé scientifiquement qu’être en présence d’un animal abaissé l’anxiété et facilite la réminiscence », affirme Suzanne Legault.